Un caprice n'est qu'une envie élevée à son maximum.

ENVIE DES ROIS

Un caprice n'est qu'une envie élevée à son maximum. Jeho7

Informations

Nom :: Envie des Rois
Surnom :: King
Âge :: 47 lunes
Rang :: Guerrier
Sexe :: Mâle
Clan:: Nuit

Derrière l'écran

Comment as-tu découvert le forum :: J'étais là à ses débuts.
Comment le trouves-tu :: Bien bien.
Tes disponibilités :: Allez savoir.
As-tu lu le règlement,
si oui la preuve ::Validé par la Lune.
Autre :: Nop.

Physique

Mon pelage est composé d'une unique couleur. Du blanc, un blanc poudreux et vaporeux. Cette couleur n'a comme nom que blanc bien qu'elle dissimule les secrets de la génétique. Ma fourrure, épaisse est aussi mi-longue, apportant mortelle élégance et troublante fluidité à ma silhouette. Mes yeux ont une couleur qui leur est propre. Doré. Simplement, sans autres teintes, sans aucunes nuances d'un autre doré. Mes yeux ne sont composés que d'une couleur unique qui luit et brille à l'éclat du soleil et de la lune.
Je possède des pattes, assez impressionnantes, mon gabarit est de taille moyenne, ni trop grand, ni trop petit. Mes oreilles se finissent par des lynxtips, caractéristique des lynx. Ma queue est assez longue, et ce fait est plus un inconvénient qu'autre chose, il faut toujours que j'y face attention.

Caractère

Je n'aime pas parler de moi, je n'aime pas grand chose en fait. Mais globalement, j'ai un caractère assez loufoque, je suis lunatique et l'on dit de moi que je suis fou, et que mes manières pour faire certaines choses, sont immorales, ou tout simplement inappropriées. Une atmosphère étouffante m'entoure. Je ne suis pas né ici après tout. Et mon passé est inconnu, inconnu de 6 lunes. Mon caractère est... bancal, et inapproprié à une vie de clan. Mais bon, qui ne tente rien, n'a rien n'est ce pas ? Alors on verra pour le futur, on verra si mon ironie mordante et si ma légère folie viendra à bout de ma vie de clan...

Histoire

Noir.
Tout est noir.
A non...
Il y a... autre chose.
Une nuance.
Oui c'est ça.
Une nuance... de rouge.
Pas le rouge d'un coucher de soleil.
Le rouge du sang qui coule.
Le rouge d'une blessure.
Ah...
Et... il y a autre chose.
J'entend.
Il y a... des murmures.
Ou peut être ces voix crient elles ?
Je ne sais pas.
Je ne sais plus.
Autre chose.
J'avais mal...
Si mal.
C'est insupportable !
Le feu brûlait.
Il détruisait tout.
La lave en fusion joue avec mes nerfs.
Les frôlant.
Les enveloppant dans son étreinte ardente.
Puis... ça c'est arrêtée.
Je n'entend plus.
Ni ne ressens.
Noir.
Tout en noir.
A non...
Il y a... autre chose.
Une nuance.
De nouveau.
Mais elle est agréable.
Blanche et jaune.
Elle ne brûle pas.
Elle ne fait pas mal.
Elle calme.
Et endors.

Mon réveil fut douloureux. Il fit mal, très mal. J'avais l'impression que mes muscles, au moindre mouvement, ce déchireraient et que mon agonie recommencerais. Je fis pourtant un effort, je dépliais une patte, doucement, testant ma résistance à cette nouvelle vague de douleur. Mais contrairement à la lave qui avait envahi mes veines, me consumant de l'intérieur, cette douleur était minime. Je me redressais donc, regardant autour de moi. L'odeur m'était familière. Guérisseur. Oui, elle me rappelait une odeur dans mon clan. Tanière. Je me trouvais dans la tanière du Guérisseur. Alors je baissais mon regard sur moi, plus précisément, sur une douleur plus présente, sur une de mes pattes avant. Tordues. Elle était, tordue. Dans un angle improbable. Ah. Je vois. Je me souvenais. Je savais la raison pour laquelle j'étais ici, sans m'en souvenir. J'avais été attaqué. Par qui ? Je ne sais plus, ils étaient plusieurs, et ils m'ont traîné, sur le chemin du Tonnerre. J'avais réussi à me dégager de leur prise. Mais pas assez vite. J'avais été trop lent. Et j'en payait le prix. Un monstre de métal m'avait alors percuté, et m'avait brisé la patte. Je guérirais, fit une voix extérieur. Le guérisseur. Mais je serais pénalisé. Même en guérissant. La douleur sera toujours présente par moment. Le guérisseur me dit de me reposer, il me dit, qu'après ma "guérison", si la douleur revenait, je devait aller le voir. J’acquiesçai. J'étais seul, de nouveau. Je m'endormis, avec la désagréable impression d'être observé. Non. Tu n'es pas seul, plus maintenant, je suis là, moi.

Validé, je crois que ça fait longtemps que tu attends ta pauvre couleur ! QwQ